Deux Lamborghini Espada avec des plaques d'immatriculation espagnoles trouvées
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Constat : Deux Lamborghini Espada avec immatriculation nationale apparaissent en Estrémadure qui étaient inutilisées depuis des années

Ces deux unités sont restées pendant au moins deux décennies dans l’attente que quelqu’un vienne à leur secours.

Incroyable, mais vrai, nous sommes une fois de plus tombés sur une de ces histoires qui semblent tirées d'un programme de télévision américaine. Déjà en février on découvre une Iso Rivolta avec une plaque d'immatriculation de Madrid, mais la nouvelle découverte est encore plus significative. Dans ce cas, c'est deux Lamborghini Espada avec des plaques d'immatriculation espagnoles stockées depuis des décennies. Ils ont été trouvés dans une ferme d'Estrémadure dont nous ne pouvons pas donner plus d'informations sur la localisation.

Rappelons que La Lamborghini Espada était une grande routière en configuration 2+2 qui a été fabriqué en Sant'Agata Bolognese entre 1968 et 1978. Elle était équipée d'un moteur V12 de 4 litres qui développait initialement 325 ch. Il a été conçu par Marcello Gandini, qui s'est inspiré de la Lamborghini Marzal et du Bertone Pirana. Tout au long de sa vie commerciale, elle a connu trois séries connues sous les noms de S1 (1968-1970), S2 (1970-1972) et S3 (1972-1978). Dans les deux derniers, le moteur atteignait déjà 350 ch.

Deux Lamborghini Espada avec immatriculation nationale

Parmi 1968 et 1978 Au total, 1.217 XNUMX unités ont été produites, ce qui en fait la Lamborghini la plus vendue à ce jour. La grande majorité d’entre elles étaient équipées d’une boîte de vitesses manuelle à 5 rapports, mais quelques-unes étaient également équipées d’une boîte automatique. Il s'agissait de la boîte Chrysler Torqueflite à trois vitesses, qui n'avait que 55 exemplaires, tous de série 3.

LES DEUX LAMBORGHINI ESPADA AVEC IMMATRICULATION NATIONALE

On estime que Ces deux unités y sont restées au moins 10 ou 15 ans, même s'ils sont certainement au chômage depuis plusieurs décennies, compte tenu de l'état dans lequel ils se trouvent. Nous n'avons pas pu découvrir où ils se trouvaient auparavant. De plus, tous deux possèdent une plaque d'immatriculation nationale, l'une de Barcelone (B-0030-AU) et l'autre de Madrid (M 852476).

En commençant par le plus ancien, celui de la capitale, Elle a été immatriculée le 8 juillet 1970, ce serait donc une deuxième série. Son numéro de châssis est le 7704. Son état est, apparemment, bien meilleur que celui de son compagnon, du moins extérieurement. Cela semble certainement au moins complet. La deuxième unité, avec le châssis 9226, Il s'est inscrit à Barcelone le 2 novembre 1974, c'est-à-dire qu'il appartient à la troisième série du modèle. Dans ce cas, certains éléments de carrosserie manquent, comme les pare-chocs, les feux ou la lunette arrière. En tout cas, la tôle semble en bon état.

Malheureusement Aucun des deux exemplaires n'est en état de marche. En fait, les deux ont le moteur à l’extérieur et l’un d’eux a même la boîte de vitesses. Bien entendu, ils sont stockés avec les voitures, afin de pouvoir être récupérés lors d’une future restauration. Ils furent démontés à l'époque justement pour les restaurer, mais à cette époque, il s’agissait de voitures sous-évaluées, car le processus n’était pas terminé.

UNE DERNIÈRE SURPRISE

Si la découverte de deux Lamborghini Espada avec immatriculation nationale n'était pas assez frappant, à côté d'eux il trouva aussi une Maserati Mistral. Dans ce cas, la plaque est le B 701399 et il s'agit d'un 4 litres de 1969 qui était resté plus de dix ans. Heureusement, il était mécaniquement complet et si beau sur les photos car il a été lavé avant d'être chargé sur le camion. Par curiosité, elle appartenait à l'époque à Auto Paris, à Barcelone.

Les trois voitures sont déjà là hors d'Espagne à restaurer, même s'il est difficile de penser qu'ils vont revenir dans notre pays où il n'y a pratiquement pas de marché pour ce type d'automobile. En tout cas, on ne peut que se féliciter car ces trois merveilleuses pièces vont avoir une nouvelle vie. Et ils ne sont pas les seuls… Nous continuerons à vous informer.

MISE À JOUR: Apparemment, les deux Lamborghini sont restées longtemps à Madrid, jusqu'à ce qu'il soit décidé de les déplacer en Estrémadure.

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Écrit par Ivan Vicaire Martin

J'ai la chance d'avoir fait de ma passion ma façon de gagner ma vie. Depuis que j'ai quitté la Faculté des sciences de l'information en 2004, je me consacre professionnellement au journalisme automobile. J'ai commencé dans la revue Coches Clásicos à ses débuts, pour la diriger en 2012, année où j'ai également pris en charge Clásicos Populares. Tout au long de ces presque deux décennies de ma carrière professionnelle, j'ai travaillé dans tous les types de médias, y compris les magazines, la radio, le web et la télévision, toujours dans des formats et des programmes liés au moteur. Je suis fou des classiques, de la Formule 1 et des 24 Heures du Mans.

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