Miguel Sánchez
PHOTOS DUESENBERG SSJ 1935 : GOODING ET VENTES DE L'ENTREPRISE
Au cours du premier tiers du XNUMXe siècle, il y avait principalement deux types principaux de voitures : d'une part il y avait les appareils modestes qui ont commencé à populariser massivement le transport automobile grâce à des modèles tels que la Ford T, et d'autre part... spectaculaire véhicules de près de trois tonnes, des moteurs à cylindrée astronomique, des carrosseries artisanales de luxe et un portefeuille de clients où l'on ne voyait que des aristocrates, des monarchies, des grands hommes d'affaires et des gangsters.
Comme vous pouvez le voir, celui de la "classe moyenne" aún era algo que raramente pasaba de la teoría a la práctica, condicionando a una industria automotriz que, o bien montaba productos muy económicos y sencillos, o se iba directamente a satisfacer los caprichos de un público sin problema alguno para firmar todos los cheques que hiciera manque.
Au sein de ce deuxième type de marque, vous connaîtrez évidemment Rolls Royce pour sa distinction anglaise, et Bugatti pour le signe de vitesse et de puissance qu'elle marquait à l'époque séminale de la compétition automobile mais... Et si on vous parlait de Duesenberg ? Le nom sonne comme allemand, et en réalité cela a quelque chose à voir avec le fait que les deux frères fondateurs sont venus du pays allemand, mais en réalité… Nous sommes aux États-Unis Nous parlons de ceux qui sûrement être les voitures les plus exclusives de l'époque.
Et sinon... Pour montrer un bouton : quand le magnat des transports Cordon Errett Lobban a acquis la société des frères Duesenberg en 1926, il leur écrivit un chèque en blanc avec l'idée que "20 ans d'avance sur tout ce qui existe". Et s'ils réussissaient ! Tant pour la puissance que pour les modèles de style comme le J (1929-37) ils sont dans l'esprit des meilleurs passionnés d'automobile.
DUESENBERG SSJ DE 1935 : UN DES DEUX CONSTRUITS
Bien que Duesenberg réussi des défis sportifs tels que la vitesse de pointe de 251 km/h dans le désert de l'Indiana en 1920, ou la victoire dans le GP de France de 1921 -pendant des décennies ce fut la seule monture américaine victorieuse dans un GP d'Europe-, la vérité est qu'il s'agit de une marque de sport. Bien que cela ne doive pas enlever la perspective que leurs moteurs étaient parmi les plus puissants de l'époque. Comment ont-ils obtenu cela ?
Fondamentalement étudier pendant de nombreuses heures la disposition d'un gros moteur Bugatti équipé de 16 cylindres et conçu pour propulser des avions pendant la Première Guerre mondiale. Cet appareil fut rejeté par l'état-major français, mais après avoir été disséqué au millimètre près par quelques Duesenberg avides de nouvelles idées mécaniques... Il a fini par inspirer le moteur 8 cylindres qui propulse la plupart des quelque 650 Duesenberg construits, ainsi que tous les modèles 470 J.
Bien entendu, compte tenu du fait que chacun de ces modèles est une pièce unique, le nombre de spécifications techniques de ce moteur est quasiment égal au nombre d'exemplaires construits. S'il est vrai que les premières versions donnaient 265CV de tour à 4250 tr/min grâce à ses 6 litres animés par un double arbre à cames en tête et 2 soupapes... Celui qui équipe notre protagoniste assemblé en 1935 atteint, du moins en théorie, 400CV à 5000 tours avec un compresseur et deux carburateurs. C'est pas mal du tout...
Cette particularité mécanique, typique de la variante SJ ou J suralimenté un peu moins de puissance, ajouté au fait que l'ensemble est monté sur un châssis plus court que le reste des unités du modèle J - dans ce cas, nous trouvons un Bataille de 3'2 mètres- se traduit par une version purement sportive. Non, ce n'est pas une berline très puissante mais l'un des deux SSJ, ainsi appelées précisément parce qu'elles accumulent suffisamment de caractère "l'alimentation du sportif« Comme pour former sa propre spécification dans la gamme du J.
UNE VOITURE DE CINÉMA POUR UNE STAR DE CINÉMA
Après le crack de 29, les gars de Wall Street ont cessé de commander ces merveilles si fréquemment. De toute façon... il n'y en avait pas tant que ça Gatsby avec l'envie de rouler à pleine vitesse son Duesenberg d'un manoir de banlieue au centre-ville de Manhattan. Cependant, dans le Hollywood doré, les choses allaient à pleines voiles. C'est peut-être pour cette raison que cette SSJ est tombée entre les mains d'un Gary Cooper que, selon une certaine légende urbaine, il y courait des courses à travers les vallées de la Californie avec Harpo Marx, qui avait tant de "muetEn tant qu'amoureux de la vitesse grâce à sa Mercedes S Boattail Speedster.
Par la suite, ce spécimen presque unique est devenu un véritable joyau du sport automobile, fournissant pendant des années ce que certains experts ont, espérons-le, pu vérifier comme un "exubérance merveilleusement exagérée du moteur, avec une échelle extraordinaire et un caractère impétueux et saisissant ”.
Avec toutes ces données ... Vous pouvez imaginer que le chiffre pour lequel il peut être vendu ce prochain 26 Août à la vente aux enchères du Peeble Beach Contest of Elegance ce ne sera pas exactement petit. Mais ne regardons-nous pas l'une des voitures les plus fascinantes de tous les temps ?
